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Lookin'Down

4 janvier 2009

Suite et Fin...

HommeSablierImaginez un vieil ami que vous n'avez pas vu depuis longtemps. Un ami d'enfance par exemple. Celui qui a été votre confident, la personne avec qui vous avez passé le plus de temps. Celui qui vous comprenait, qui vous aidait quand vous n'alliez pas. Vous étiez tout pour lui, mais il était surtout tout pour vous. Et puis les aléas de la vie vous séparent de lui. Vous le retrouvez des années plus tard, tout à fait par hasard, à un moment où vous ne l'attendiez pas. En quelques minutes vous parlez et vous rappelez du temps passé ensemble. Et vous vous rendez compte que vous n'avez plus rien à voir avec lui... Vous êtes différent aujourd'hui, et votre liaison d'époque n'a plus aucun sens à l'heure actuelle. Alors vous vous dites au revoir, sans échange de numéro. Un simple au revoir, façon de se dire "Merci d'avoir été là quand il fallait. Tu restes au fond de mon coeur, même si nos chemins se séparent à présent... Aujourd'hui, nous n'avons plus besoin l'un de l'autre".

La comparaison est peut-être un peu osée... Mais c'est totalement ce que je viens de ressentir en retombant sur ce blog... Il est né par besoin, davantage que par envie. Il m'a aidé à progresser, à avancer. Il m'a permis de coucher ce que j'avais sur le coeur, de pouvoir n'être lu que par moi-même (ou presque...). Il a été tellement proche de moi que j'avais le sentiment de ne pas pouvoir continuer sans y laisser l'empreinte de mes sentiments.

Il était comme ces choses qu'on ne finit pas. Elles restent en plan, incomplètes, attendant qu'on s'y penche à nouveau... Je l'avais oublié, délaissé. Par manque de temps, par manque d'envie, parce que la vie change. Et je me rends compte que le dernier post n'est plus du tout cohérent avec ce que je ressens, 8 mois après. Ma vie n'en est plus là. Elle a changé. Bien plus que je ne le pensais. Je me sens bien. Je me sens mieux. J'ai considérablement avancé, et ma vie d'aujourd'hui est incomparable à celle décrite dans les pages précédentes.

Je me devais de tourner la page. De fermer ce chapitre. Alors quoi de mieux qu'une nouvelle année pour de nouveaux objectifs, un nouvel état d'esprit, et de nouvelles bases ? Après une année noire, 2008 a été une année vide. Comme une traversée de pont dans le brouillard, on ne se rend compte l'avoir passé qu'une fois arrivé sur l'autre rive. Et parfois on y trouve des petits et grands bonheurs, qui nous suivront pour la suite...

Je te devais ce dernier post à toi aussi, plumy. Je t'embrasse fort.

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30 avril 2008

Amoureux. Mais pas comme au premier jour.

On attend tous l'amour. Le vrai, l'unique. celui qui nous fera vraiment vivre. Celui qui donnera un véritable sens à nos existences. L'amour n'est pas qu'une icone, ce n'est pas qu'un cliché. C'est bien plus fort que cela. L'amour c'est l'essence même de la vie. C'est pour nous tous un objectif, plus ou moins assumé. Alors on se met tous à l'attendre, parfois avec impatience. Certains vont le chercher, et pour cela se donnent les moyens de le trouver partout où ils peuvent. Certains l'attendent, imperturbables, en sachant qu'il viendra de lui-même. D'autres font semblant de ne pas s'y intéresser. Mais tous ont en commun l'espoir. L'espoir que l'amour, un jour, viendra transformer leur destin.

L'amour est ce qu'il y a de plus fort dans la vie. Une véritable énergie, d'une grande puissance, qui a un impact considérable sur nous-même, sur notre perception des choses, sur nos réactions, nos échanges avec les autres. L'amour est un moteur qui a sa propre raison de vivre, indépendamment de nos choix. C'est le facteur qui a certainement le plus d'influence sur nos comportements et notre état d'esprit, sans que nous ne soyons capables de l'influencer à notre tour. Nous en sommes éternellement dépendant. Ce qui en fait sa force, son pouvoir et aussi sa richesse.

L'amour est capable de nous épanouir, de nous rendre heureux. Il est la source même du plaisir de la vie. C'est grâce à l'amour que le regard de l'être cher nous permet d'oublier nos problèmes, de faire face aux difficultés du quotidien. C'est la présence de cet être qui nous rend fort, qui nous rassure, qui nous apaise. Ce sont ses paroles qui peuvent nous soulager, nous distraire ou bien encore nous émerveiller. C'est bien l'amour qui nous lie à l'être aimé, et qui nous donne toutes les chances d'avancer dans la vie.

L'amour est fatalement ce qui peut arriver de mieux dans une vie. Attention, je parle toujours du vrai, de l'unique amour. Celui qu'on ressent au plus profond de nos tripes. Celui pour lequel n'importe quelle question se révèle inutile. Cet amour là ne se raconte pas, il se vit. Il est indescriptible de nature. Cet amour, source du bien-être optimal, est celui qui nous fait surmonter nos épreuves, aussi difficiles soient-elles. C'est quand l'amour surgit que le moteur s'emballe, et vous fait vivre un véritable rêve qui semble éternel. L'amour vous donne des ailes, vous communique une force monumentale, qui fait découvrir à chacun des forces bien plus grandes que celles qu'on peut imaginer. L'avenir semble radieux, et c'est à deux qu'on décide de s'y diriger. Car c'est à deux, avec le lien de l'amour, que l'homme a la chance de devenir quelqu'un.

C'est donc dans ces périodes-là que l'amour prend toute sa puissance. Puissance bien plus grande que ce que l'on pourrait croire : quand il est là, il prend toute la place. Il peut aller jusqu'à remplacer la confiance, jusqu'a prendre la place des promesses, jusqu'à annihiler totalement la raison. Seul l'amour devient, par l'intermédiaire de l'être cher, le guide de nos vies. On écoute les yeux fermés, on regarde sans vraiment voir. L'amour, c'est un peu comme un filtre qui sublime tout ce qui peut nous approcher. Un gigantesque créateur de bonheur, en quelque sorte.

Nous sommes donc tous en quête de cet amour. Car le but d'une vie, c'est de le trouver, et de le garder.

Mais si cet amour, moteur de vie, avait décidé de ne pas s'attarder dans la votre ? S'il avait tout simplement décidé de plier bagage sans crier gare ? S'il s'était dit, au final, que c'était bien avec vous, mais que vous ne le méritiez pas assez, que d'autres l'attendait ?

Alors à ce moment précis, l'amour, le vrai, l'unique, emmène avec lui tout ce qu'il avait décidé d'amener en vous : la confiance, le pardon, la foi en l'avenir... Il laisse à sa place un terrain dévasté où se mêlent peurs, craintes, méfiance et doute. L'amour est venu : magnifique, sublime, idéal, sans pour autant que l'on s'en soit rendu compte. C'est à son départ que la réalité nous rattrape.

A ceci prêt : avant ce grand amour, il y a l'espoir.
Mais quand l'amour, le vrai, l'unique, s'en est allé... il ne reste plus rien.

24 mars 2008

Let it snow...

C'est marrant. Je me suis toujours dit qu'il allait neiger si on se reparlait un jour... Et puis samedi dernier, 8 mois jour pour jour après ton départ, on a échangé quelques mots. Et c'est ce jour-là qu'il s'est mis à neiger... Je ne crois pas aux coincidences. Je crois plutôt aux signes, aux petits clins d'oeil que la vie décide de nous envoyer. Et celui-ci est incroyablement bien huilé...

neige

J'ai passé 8 mois à t'éviter, et tout faire pour ne pas te croiser. Je t'apercevais de temps à autre, ces derniers temps bien plus souvent. Mais je faisais tout pour que tu ne croises pas mon regard, pour que tu évites de me voir. Bien sûr on s'est tout de même croisés un certain nombre de fois durant tout ce temps. Mais jamais aussi proche qu'il y a 8 jours. J'aurais donné n'importe quoi pour ne pas être là à ce moment précis. J'imagine que toi aussi, vu la façon dont tu m'as adressé ce "merci", le plus gêné que j'ai jamais entendu, alors que je tenais cette porte derrière laquelle je tentais alors de me cacher pour éviter d'avoir à te regarder.

Il aura donc suffit que l'on tombe pratiquement nez-à-nez pour que tu te décides à prendre de mes nouvelles. Dans quel but ? Je ne le sais pas... Mais ce mail, court, impersonnel, je m'attendais à le recevoir à la suite de cette "rencontre". J'étais sûr que tu allais me demander ce que je devenais. Partagé entre impatience et déception quand j'allais voir ma boîte mail, je n'ai pas été plus heureux en le recevant. J'ai tellement attendu que tu reviennes vers moi, que je ne sais même plus ce que je dois faire maintenant que tu me demandes comment je vais.

Je ne t'ai pas répondu. En tous cas, pas sincèrement. Je vais mal. Mal sans toi. Je n'ai toujours pas réussi à cesser de t'aimer. Je te cherche toujours la nuit. Le son de ta voix, tes mains, ton regard, ton réconfort me manquent. Même tes colères me plaisaient. Alors forcément, toi qui m'a brisé le coeur, mon bourreau, je te déteste. Mais je t'aime bien plus encore. Toi, l'homme qui m'a rendu heureux, et qui m'a rendu malheureux bien plus encore.

Car celui que j'aime n'est plus l'homme que je vois aujourd'hui. Tu es vraiment différent de celui que j'ai aimé. Tu as évolué, tu as changé énormément. Bien plus que je ne le pensais, au vu des derniers passages de ta vie amoureuse... Tu n'es plus qu'une ombre, un reflet "demoniaque" de toi-même, un fantôme de celui que je connaissais. Tu fais beaucoup de mal autour de toi, en ne pensant qu'à ton propre bonheur. Tu prends, tu jettes. J'ai peur que tu sois devenu semblable à ceux que je traite vulgairement de "salopes".

Si seulement je pouvais me tromper... Tomber aussi bas n'est pas digne de toi. Tu vaux bien plus, je le sais mieux que quiconque. Quel est ce rôle que tu joues ? Quel est ta vraie personnalité ? Celle que tu as bien voulu me montrer, ou celle qui semble t'animer aujourd'hui ? Quelqu'un de proche devrait te balancer à la gueule ce que tu es devenu, afin de faire éléctro-choc. Car je souffre encore plus de te voir comme ça aujourd'hui.

larmemAlors comment réagir à ce mail ? Qu'est-ce que tu veux ? Quand je te demandes pourquoi tu veux de mes nouvelles, tu me réponds "parce que je ne suis pas un monstre"... No comment. L'ironie de la situation est à son comble quand tu considères que c'est un droit que tu as de prendre de mes nouvelles. Tu as pris confiance en toi. Bien trop. Tu vas te casser la gueule. J'espère que tu ne te feras pas trop mal.

Parce qu'au fond, je t'aime. Bien plus que n'importe qui.

20 mars 2008

Time goes by...

horlogeJe sais ça fait un petit moment que je n'ai pas écrit ici... Plusieurs raisons à cela. Premièrement : pas vraiment l'envie. Deuxièmement : pas vraiment le temps. Troisièmement : pas vraiment sûr d'avoir beaucoup de choses à dire...

Et pourtant ! On ne peut pas vraiment dire que ma vie soit très vide en ce moment. J'ai ENFIN une vie sociale à peu près digne de ce nom, provoquée par une vie professionnelle bien remplie, des sorties très (trop) régulières, des rencontres et des connaissances qui se multiplient un peu. En bref, je m'occupe au maximum la tête pour éviter de penser. A quoi je n'en sait rien. (Ou plutôt je le sais trop bien, mais je fais semblant de pas m'en souvenir, ça marchera peut-être, à force !).

Mon boulot ? Il me plait à mort ! Je pense vraiment que c'est ce genre de boulot qu'il me faut : déjà c'est à Disney, ce qui n'est pas négligeable pour moi qui ne pourrait plus vivre à plus de 15 min de ce lieu de perdition. Ensuite, ça bouge suffisamment pour que je ne m'ennuie pas, ce n'est jamais répétitif, et le produit est exceptionnel ! En plus, l'équipe (que je commence à appréhender, à connaître un peu mieux) est vraiment sympa dans son ensemble.

Mes sorties ? Ciné, bars, boîtes, restos... Ouais on peut dire que mon budget "loisirs" a totalement explosé ce mois-ci !!! Mais après tout, l'argent est aussi fait (un peu) pour être dépensé, alors j'en profites ! Et puis c'est aussi surtout un bon moyen de sortir de chez moi, de rencontrer des gens, de parler, de faire connaissance, et puis de s'amuser tout simplement !

Ma vie privée piétine... Ca avance, ça recule. En fait je ne sais pas ce que je veux. J'aurais bien quelques opportunités de pouvoir tourner la page, mais est-ce que j'en ai vraiment envie ? Est-ce que je me sens prêt pour partir sur autre chose ? Les souvenirs me sont brutalement revenus à la gueule en fin de semaine dernière, quand ça commençait à aller un peu mieux. J'écrirais surement un post sur ce sujet d'ici quelques temps, quand je saurais quoi en penser...

En attendant, on se revide la tête, on respire, et on vit !

7 mars 2008

Eh ! Ch'trop fort, biloute !

bienvenue_Chtis_2Tout le monde en parle ! Ce film de tous les records a vraiment suscité un engouement inattendu ! J'ai attendu un peu avant d'aller le voir, les séances étant systématiquement prises d'assaut... Et c'est donc dans une salle pleine à craquer que j'ai pu découvrir cette vraie comédie populaire. Je n'avais pas rigolé autant au cinéma depuis Astérix Mission Cléopâtre, et Le Dîner de Cons.

DanyBoon signe un beau succès, grâce aussi à Kad Mérad, dont le jeu est toujours aussi juste. Les personnages sont d'ailleurs dans leur ensemble plutôt bien sentis (Line Renaud un brin agaçante, mais bon...). Les gags sont vraiment bons et s'enchaînent agréablement. Allez, pas trop d'éloges, vous pouvez en lire absolument partout, et elles sont vraiment justifiées !

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2 mars 2008

Encore ou enfin ?

Je n'ai même pas pris le temps de détailler ici mes aventures professionnelles... Après mon échec à l'entretien que j'avais passé à Disneyland pour un stage d'analyste "financier", j'ai tout de même trouvé mon bonheur dans cette même boîte, avec un stage de 4 mois et demi, dans le service événementiel. J'assisterai donc les équipes dans l'organisation et la coordination des événements internes du complexe touristique.

Je commence demain, et je suis très impatient de vivre cette nouvelel aventure. Par contre, il est certain que j'aurais beaucoup moins de temps à consacrer à ce blog, et que mes posts se feront beaucoup plus rares... (bon en même temps comme je suis le principal lecteur, je m'en fous lol).

Terminant mon stage mi-juillet, il est fort probable que j'enchaîne sur un CDD en opération (sorte de retour aux sources, en attraction !), avant de partir, qui sait, pour les états-unis ? I believe I can fly...

25 février 2008

Paname, paname, paname...

parisOn entend beaucoup parler du dernier Klapisch, Paris. Un film sur une ville, à l'habitude du cinéaste à qui l'on doit par exemple un superbe hommage à Barcelone. Un film qui brosse le portrait de plusieurs personnages de la capitale, dont les vies se téléscopent, se frôlent, s'entremêlent, ou ne se croisent jamais. Malade incurable, quadragénaire dépressif, divorcé amoureux, femme seule... Certains déploreront le manque d'histoire, il est vrai qu'il n'y en a pas. Ou plutôt il y en a plein ! Des bribes, des morceaux de vie, des destins différents. En bref, un éclectisme perturbant, à l'image des parisiens : personne ne l'est vraiment.

On y voit enfin une vision différente de Paris, loin du tourisme abrutissant. Un Paris enfin plus terre à terre, plus pragmatique, plus authentique aussi. Toutefois, le film est aussi à l'opposé de ce qu'on ressent à Paris, loin du stress et de la rapidité excessive de ses habitants, en nous surprennant par sa lenteur ! Des temps morts parfois longs, inutiles et agaçants. Ce sentiment aussi d'avoir l'impression de rater quelque chose pendant ces mêmes temps morts. Sentiment encore une fois ressenti fréquemment dans la vie parisienne, au final...

Pour résumer, un bel aperçu sur ce bouillonnement qui règne à Paris, mais le film ne vaut vraiment pas tout le tapage qui est fait autour... A noter aussi que la bande-annonce n'est pas vraiment représentative : très larmoyante alors que le film amène quelques rires bien placés. Pourtant soutenu par d'excellents acteurs : Romain Duris (que je n'aime pas mais on s'en fout), Juliette Binoche sublime, Luchini très juste, et puis tant d'autres aussi excellents tels que Dupontel, Cluzet, Lellouche... Mais la mayonnaise peine à prendre, et c'est bien dommage...

15 février 2008

Tears Movie

psiloveyouPS: I love You me faisait déjà presque pleurer avec sa bande-annonce... C'est sûr que l'histoire d'un couple qui s'aime depuis 10 ans, dont le mari meurt de maladie, ça émeut forcément un peu. Surtout quand le mari défunt en question a écrit, avant de mourir, une dizaine de lettres à sa femme, la forçant à une sorte de jeu de piste entre retour aux sources et reconstruction de soi.

Voilà une histoire d'amour, vraie, grande, belle, sincère. Snif. Je n'ai pas lâché mon mouchoir durant les 2 heures de la projection (j'étais en larmes avant même que le titre du film n'apparaisse...). Bon alors je suis un cas extrême, je vous rassure, et je pense qu'en cumulant la totalité des larmes de toutes les personnes qui étaient dans la même salle que moi, on n'arrive même pas à la moitié de ce que j'ai versé !

Bref, dépressifs s'abstenir, même si l'histoire jongle habilement avec de véritables moments de comédie, grâce à de nombreux talents (notamment ravi de revoir une friends, Lisa Kudrow), et de très bons gags. Toutefois l'émotion m'a bien pris à la gorge et dans mes petits yeux embrouillés durant deux bonnes heures... Une superbe histoire d'amour soutenue par une magnifique bande-son. Allez-y en amoureux, vous le serez encore plus en sortant de la séance... [soupir...]

14 février 2008

J'aime po la Saint-Valentin

Depuis le début de la semaine, tous les amoureux ne parlent que de ça... "T'as pas une idée de cadeau pour mon chéri ???" ; "Ahh non jpeux pas sortir jeudi, je suis avec mon namoureux". Ca m'énerve tout ce ramdam autour d'une fête purement commerciale. Mieux vaut faire des cadeaux sans raison que de se dire "Je t'aime" à une date fixe, de toute façon. Franchement ce romantisme à deux balles c'est super dépassé, il y a que les vieux qui se souhaitent la st-valentin ! Et puis... Et puis...

Et puis merde. J'adore la Saint-Valentin, et j'suis super triste aujourd'hui. Oui car moi aussi je suis amoureux. Je crois que je suis même plus amoureux que beaucoup de personnes qui vont fêter la St Valentin en couple aujourd'hui. Mais je suis seul. Totalement vidé par ton absence. Totalement amoureux, pourtant. Et donc totalement con, enfermé dans cet amour impossible.

Alors ce soir je pense à toi. Je me fais du mal, forcément, à t'imaginer passer ta première St Valentin avec ton "chéri", ton "grand amour". Je pense à toi, je t'imagines doux, tendre, amoureux, prêt à tout. Mais dans cette vision, tu es avec lui. Il semble heureux. Tu crois l'être plus que tu ne l'as jamais été. Aujourd'hui je me rends compte de ce que je n'ai peut-être pas été. Ce que j'ai oublié de t'apporter. Ce que tu n'aimais pas chez moi. Mais tu ne m'as pas laissé la possibilité de le savoir, et de changer. Trop de regrets, de remords, trop de douleur à repenser à toi chaque jour.

Pffff. Fais chier cette journée.

2006

"Ca fait mal de vivre sans toi. Ca fait mal et tu ne t'imagines même pas..."

13 février 2008

C'est toujours les vacances, sur IDF1 !

IDF1 ? Mékesskecékeça ? IDF1, c'est une nouvelle chaîne de télévision qui apparaîtra sur la TNT francilienne dès le 20 mars 2008. Et pour moi, c'est déjà cultissime ! Pourquoi ? Tout simplement grâce à leur fan-tas-tique site internet (www.idf1.fr), décoré avec goût soin, et qui a surtout l'intérêt de nous diffuser la chanson officielle de la chaîne, dont je ne peux résister à l'envie de vous la faire connaître !

Ehhh oui, c'est... conceptuel ! Le summum du kitsch au 21ème siècle, en quelque sorte ! IDF1, à part faire des prouesses en terme de musique, nous proposera aussi le retour inédit de Dorothée (on peut d'ailleurs écouter son générique, aussi kitschissime, sur le site) et des diffusions de séries, dessins animés, qui, on peut l'imaginer, seront ceux qui ont rythmé notre enfance (en tous cas la mienne !).

LogoIDF1Encore mieux ! Si vous adorez le style décalé de cette chaîne, vous pouvez concourir pour être animateur de la chaîne ! Et puis il y a aussi le Club IDF1, dont je fais déjà parti, bien évidemment, qui vous permet de vous tenir au courant de l'actualité de la chaîne de télé la plus fashion du moment (l'histoire ne dit pas si on vous souhaitera votre anniversaire au générique de l'émission de Dorothée ;-)).

Vivement fin mars, pour être en vacances en permanence, grâce à IDF1 !!

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